Un peu d’histoire

Un domaine familiale

Orsonville était la villa ou le manse domanial d’Ursin ou Orson, dont le nom révèle l’origine germanique. La première mention connue d’Orsonville remonte à janvier 1255. À cette date, Hugues de la Grange vend pour 600 livres parisis à l’Abbaye du Lys récemment fondée. Dès lors et pendant près de 400 ans, les religieuses du Lys administrent cette propriété de leur mieux jusqu’au 27 juin 1624, où, elles la donnent à bail à Maître Georges Le Rousse (Georges Le Rousse qui donnera son nom à un bois proche de la ferme). C’est alors une maison avec jardin, 300 arpents de terre et 6 arpents de bois.

Une évolution

La Ferme d’Orsonville, témoin des âges, évolue avec grâce, mêlant histoire et modernité pour créer un lieu où le passé rencontre le présent.

Les hébergements

Un savoir-faire

Des productions locales

Découvrez l’essence authentique de la région à travers nos productions locales à la Ferme d’Orsonville.

Agriculture Céréalière

Cultivées avec passion et dévouement, nos récoltes représentent le symbole vivant de notre engagement envers la qualité et l’authenticité.

Sève de Bouleau Bio

Récoltée avec soin au cœur de notre domaine, cette délicatesse revitalisante incarne notre engagement envers des produits de qualité, pour une expérience unique et saine.

En savoir plus
1624 - 1789
1882
1978
2000
2007 - 2015
2022

Découvrez l’histoire fascinante de la Ferme d’Orsonville à travers une sélection de dates clés qui ont marqué son évolution.

  • 1632 : Nicolas Le Rousse
  • 1640 : Jeanne Boucher, veuve de messire Nicolas de Paris, ancien échevin de la Ville de Paris.
  • 1644 : Nicolas Le Rousse, fils de Georges
  • 1685 : Philippe Binot.
  • 1709 : Elisabeth Binot, veuve de Jacques Guillemart, Trésorier de France en la généralité de Moulins.
  • 1715-1740 : Etienne Le Ménestrel de Hanguel de Lutteaux, brigadier des armées du Roi, maître de camp du Régiment de Beaujolais.
  • 1741-1752 : Joseph-Antoine Le Ménestrel de Hanguel, marquis de Saint-Germain Laxis, fils du précédent.
  • 1760 : Jacques-Gabriel Bazin, marquis de Bezons, maréchal des camps et armées du Roi.
  • 1761 : Claude-Joachim-Bruno Le Blanc de Chateauvillard, Commissaire des guerres. Ce dernier acquiert Orsonville, Villiers-en-Bière et le Bréau ensemble, le 22 février 1761.
  • 1789 : Cette année-là, il décède rue St-Honoré à Paris le 7 mars et est inhumé le 9 dans l’église de Villiers. Sa veuve, Louise-Anne Davoult, habite toujours le Bréau en l’an VII (1799) avec son fils François-Joachim Le Blanc de Chateauvillard, maire du village pendant toute la Révolution. Une description du début du XVIIIème siècle nous apprend que les fiefs d’Orsonville comprenaient alors une grande ferme bâtie à neuf contenant de très beaux greniers, logis pour le fermier, écuries, bergeries, laiteries, deux grandes granges, toits à porcs.

Travaux & Déboires

En 1882, les Le Blanc de Châteauvillard vont entreprendre des travaux d’envergure pour reconstruire la ferme d’Orsonville (celle que l’on peut voir aujourd’hui), d’une telle envergure d’ailleurs que leurs finances seront mises à mal. Le 14 mars 1884, soit 123 ans après que son arrière-grand-père en soit devenu propriétaire, la baronne du Port, née Hélène-Louise-Clémentine de Châteauvillard, est saisie de tous ses biens immobiliers par le Tribunal Civil de Melun. Le domaine d’Orsonville, constitué alors d’ une ferme de 308 hectares d’un seul tenant et d’une chasse giboyeuse contigüe à la forêt, est acheté, le 7 juillet 1884, en même temps que des terrains et bâtiments du village, par Thérèse et Frédéric Humbert dont l’insolente réussite financière leur a déjà permis d’acquérir le château des Vives-Eaux à Vosves (devenu le château de la star académie). Le scandale Humbert ébranle le monde de la finance française et des milliers de petits investisseurs et créanciers sont ruinés parmi lesquels la belle-famille du peintre Henri Matisse. Tous les biens des Humbert ont naturellement été saisis et parmi eux le domaine d’Orsonville. Il est finalement mis aux enchères (avec le château des Vives-Eaux à Vosves) par Maître Lustin, avoué à Melun, le vendredi 8 août 1902, à midi. Le domaine seul (sans le château des Vives-Eaux) est adjugé à Jean-François Pellissier, négociant plumassier à Paris, pour la somme de 402 000 francs. Ce sont ses héritiers qui en sont propriétaires encore aujourd’hui au sein de la S.C.I du Domaine d’Orsonville.

A partir de cette date, la Ferme d’Orsonville est mise en location et plusieurs fermiers bailleurs s’y succèderont.

En 1978, Jacques Pellissier reprend l’activité agricole jusqu’en 2000, durant cette période la maison n’est habitée que durant la saison estivale.

En 2000, Christian Pellissier commence à réhabiliter la ferme et l’habite à nouveau.

Les chambres d’hôtes

En 2007, il transforme l’aile ouest, 5 chambres d’hôtes sont créées au premier étage dans les anciens greniers à grains, 2 salles de réception sont quant à elles créées, l’une dans une ancienne étable, l’autre dans l’ancienne écurie. C’est dans celle-ci que l’on trouve un lit suspendu qui servait de couchage au palefrenier. En 2015, c’est une autre étable qui est transformée en un confortable gîte pour 6/8 personnes avec grande salle de séjour, cuisine aménagée, 3 chambres, 2 salles d’eau, et un Spa avec jacuzzi. Les salles et le gîte ont été conçus pour recevoir des personnes à mobilité réduite. Le dernier, est labélisé Tourisme & Handicap.

C’est parti !

En 2022, les Chambres d’Hôtes et les Salles de Réception sont à nouveau restaurées et, en partenariat avec la Société Do Events, des événements professionnels (séminaires, journées d’études…) et privées (mariages, baptêmes…) sont proposés avec formules clé en main.

S’engager pour la nature

Nos engagements environnemental

Harmonie durable

Soucieux de préserver et de respecter l’environnement, la mare située derrière la ferme a été réaménagée afin de recueillir les eaux de pluie. Nous œuvrons chaque jour pour minimiser notre impact sur la nature.

Contactez-nous

Minimiser notre impact

L’ensemble de la ferme est chauffé par une chaudière biomasse alimentée par les céréales produites sur le domaine. Aujourd’hui, le Domaine exploite 120 hectares de cultures céréalières et 100 hectares de forêt.

Actualités

La sève de bouleau

Notre production provient d’une parcelle plantée il y a près d’un siècle. Le procédé de collecte utilisé ne nuit pas à la santé des arbres prélevés. Nous sommes engagés à protéger et respecter la biodiversité.

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